Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 2 min.
C'est à une réunion « technique », sans ministre, à laquelle ont assisté les membres du Conseil supérieur du travail social (CSTS), le 28 novembre, à Paris (les représentants des conseils généraux et des maires étant, une nouvelle fois, absents) (1).Concernant l'implication du secteur social et médico-social dans le plan emploi-jeunes, Jacques Ladsous, vice-président du CSTS, s'est félicité de l'existence, au sein du conseil, d'une « véritable mobilisation dans l'ouverture et la vigilance ». Ce dossier devrait d'ailleurs faire l'objet d'un débat, avec Martine Aubry, lors de la prochaine réunion du CSTS qui pourrait avoir lieu au cours de la deuxième quinzaine de janvier. En outre, un observatoire destiné à suivre les projets emplois-jeunes devrait être créé au sein du conseil. Par ailleurs, au sujet du futur projet de loi de prévention et de lutte contre les exclusions, qui doit être bouclé dans les premières semaines de 1998, « on ne peut pas faire moins que de consulter le CSTS », a indiqué Pierre Gauthier, directeur de l'action sociale, précisant, toutefois, qu'aucune date n'a été arrêtée à cet effet. De même, a-t-il expliqué, cette instance devrait être consultée sur la réforme…
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