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« LES JEUNES SONT-ILS DEVENUS NOS PIRES ENNEMIS ? »

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Le modèle éducatif issu de l'ordonnance de 1945 serait-il dépassé ? Non, affirme Denis Salas, magistrat, mettant en garde contre la montée des discours sécuritaires. Plutôt que de durcir le droit des mineurs, celui-ci plaide au contraire pour « maintenir la priorité éducative » .
« Les récentes déclarations de Jean-Pierre Chevènement lors du colloque de Villepinte tendant à durcir le droit des mineurs, voire à rétablir les centres fermés, ont fait sensation. L'offensive gouvernementale, jointe à la détermination clairement affichée de lutter contre les violences scolaires, ne laisse aucun doute (1). La gauche qui en a fini de dénoncer l'idéologie antisécuritaire a parfaitement compris qu'on l'attend sur un terrain qu'elle compte bien ne pas laisser à la droite. Il y a quelques mois Jacques Toubon, fustigeant le laxisme des juges et sous la pression des policiers, avait opté pour un compromis en faisant voter une loi sur la comparution à délais rapprochés. Aujourd'hui une stratégie nouvelle, peut-être plus radicale encore, s'amorce face à l'insécurité grandissante. La récurrence d'un débat qui n'a rien de conjoncturel…
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