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L'AFSEA rappelle les principes de l'ordonnance de 1945

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S'interrogeant sur une «  éventuelle remise en cause de l'ordonnance du 2 février 1945 » à la suite des propos tenus par Jean-Pierre Chevènement lors du colloque « Des villes sûres pour des citoyens libres »   (1), Robert Bouquin, président de l'Association française pour la sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence (AFSEA)   (2), a écrit au Premier ministre. Cette ordonnance, lui rappelle-t-il, ne pose pas le principe de l'irresponsabilité des mineurs, mais «  de la prise en compte par le magistrat de la nécessité d'accompagner la sanction [...] d'une assistance éducative dont la mission est bien évidemment de prévenir la récidive et d'orienter le mineur vers une vie citoyenne plutôt que vers une délinquance devenue pathologique ». Il ne s'agit pas de contester que les actes délinquants perpétrés par des enfants de plus en plus jeunes constituent «  un fait préoccupant  ». Ni de prétendre que l'absence de sanction aurait des vertus éducatives, se défend Robert Bouquin. Néanmoins, «  nous devons être vigilants à ne pas cacher la réalité des causes profondes de la délinquance et de la récidive derrière des mesures circonstancielles qui [...] se révèleraient à terme génératrices de…
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