... alors que l'Uniopss et les employeurs se disent prêts à s'engager
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
« Les associations du secteur sanitaire et social doivent être partie prenante du programme pour l'emploi des jeunes », affirme l'Uniopss (1), annonçant qu'elle discute actuellement les termes d'un accord avec le ministère de l'Emploi « pour formaliser son implication dans le dispositif ». L'Uniopss souhaite ainsi obtenir un conventionnement pluriannuel afin de développer ses moyens d'expertise et d'aide au montage de projets, dans le cadre du programme emploi-jeunes. Toutefois, précisent ses responsables, pour que ces emplois répondent à de vrais besoins, il sera nécessaire de respecter certaines conditions. Ainsi, les cahiers des charges devront être élaborés en concertation entre les associations et les pouvoirs publics. De même, les projets présentés devront être évalués, non seulement par les services de l'emploi, mais aussi par ceux des affaires sanitaires et sociales, les CAF et les représentants des collectivités territoriales ainsi que ceux des associations. En outre, pour l'Uniopss, il s'agit d'accorder la priorité à l'embauche des jeunes faiblement qualifiés (niveau V et VI). Elle souhaite ainsi que 30 % des emplois-jeunes leur soient réservés. Par ailleurs, elle juge…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques