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Le Snatem entre contraintes financières et qualité de l'écoute

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Un mot d'ordre de grève devrait être observé, le 21 octobre, de 13 h à 17 h, par le personnel technique du Service national téléphonique pour l'enfance maltraitée  (Snatem)   (1). Certains, parmi les 40 écoutants du numéro vert national, entendent ainsi marquer leur « opposition professionnelle et éthique aux orientations et pratiques mises en œuvre » par la direction du service, depuis un an. Ils contestent, en particulier, l'obligation qui leur est faite de répondre à 35 appels durant les quatre heures que dure chaque permanence. « Si l'on applique cette règle, nous devrons répondre, en moyenne, à un appel toutes les sept minutes. Or nous avons parfois besoin de beaucoup plus de temps. Nous ne sommes pas des standardistes mais des professionnels de l'enfance », s'insurge-t-on au sein de la section syndicale CGT du Snatem. De son côté, Annie Gaudière, la directrice du service, indique que le chiffre de 35 appels peut être revu. « Il s'agit simplement de définir un objectif qui permette de stabiliser l'activité du service. En effet, certains chargés d'accueil ne répondent qu'à une dizaine d'appels à chaque permanence quand d'autres en prennent près de 50 », explique-t-elle. Autre…
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