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UEER : « un dispositif intéressant mais insuffisamment élaboré »

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Mises en place trop précipitamment, les unités à encadrement éducatif renforcé  (UEER) souffrent d'une certaine incohérence institutionnelle. Même si, pour l'heure, les effets observés sur les jeunes sont loin d'être négatifs. C'est la principale conclusion du rapport d'évaluation (1) qui a été remis à Elisabeth Guigou et dont les ASH ont pu se procurer les premiers éléments de synthèse. Lancée début 1996 par l'ancien garde des Sceaux, un an seulement après la difficile mise en place des UEER, l'évaluation a porté sur six des treize unités actuellement en fonctionnement, la moitié appartenant au secteur habilité : APE de Raismes (Nord), Sauvegarde de l'Isère et association du Gardera (Bordeaux)   l'autre, à la protection judiciaire de la jeunesse  (PJJ)  :les centres d'action éducative de Marseille, Rouen et Collonge (Rhône). A l'origine, cette étude avait un but purement technique : « capitaliser les savoirs pratiques mis en œuvre par les professionnels » et « rendre compte de l'expérience des mineurs pris en charge par ce dispositif ». A cet effet, les enquêteurs avaient adopté une démarche originale, rencontrant non seulement les équipes éducatives et leurs responsables mais…
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