Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 2 min.
Comme prévu, seules les grandes confédérations syndicales et patronales ont été conviées, par le gouvernement, à participer, le 10 octobre, à la conférence nationale sur l'emploi, les salaires et la réduction du temps de travail. D'où une certaine frustration du côté des autres organisations qui souhaitaient être associées à cette réunion.
Plusieurs réseaux associatifs et mouvements de chômeurs et précaires avaient demandé à participer à la conférence nationale sur l'emploi, les salaires et la réduction du temps de travail. En vain, le gouvernement ayant décidé de s'en tenir aux partenaires sociaux habituels. Pourtant, à l'Uniopss, où l'on considère que « les personnes exclues de l'emploi sont peu ou pas représentées », on souhaitait que le collectif « Alerte », regroupant 33 associations engagées dans la lutte contre l'exclusion, « puisse avoir son mot à dire ». Il est vrai que, pour préparer le défunt projet de loi de cohésion sociale, le collectif avait déjà réfléchi au problème du « droit au travail », proposant notamment d'instaurer « une dynamique de partage de l'emploi » passant par la réduction et l'aménagement du temps de…
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