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Bizutage : l'Education nationale rappelle le dispositif répressif en vigueur

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« La fin des pratiques de bizutage est, à l'évidence, l'affaire de tous. Seule la fermeté permettra de mieux assurer la dignité des élèves ou des étudiants et d'éviter que les plus fragiles d'entre eux ne renoncent à des études ou ne recourent aux pires extrémités telles que le suicide, pour échapper à des pratiques d'un autre âge. » C'est en ces termes que Claude Allègre, ministre de l'Education nationale, et Ségolène Royal, ministre déléguée chargée de l'enseignement scolaire, se sont adressés aux responsables d'académie et chefs d'établissement afin de les « mettre en demeure d'exercer leur responsabilité et leur pouvoir disciplinaire ».Dans l'attente de l'examen, par le Parlement, du projet de loi relatif à la prévention et à la répression des infractions sexuelles commises sur les mineurs présenté par la garde des Sceaux, qui comporte des dispositions spécifiques sur le bizutage (1), le ministère de l'Education nationale rappelle le dispositif législatif en vigueur afin de mettre fin aux « pratiques de violences dégradantes » dès la rentrée 1997.En l'état actuel du droit, les pratiques de bizutage sont qualifiées de violences, voire d'agressions sexuelles. D'autres qualifications…
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