Les Cotorep sont invitées à mieux prendre en compte la situation des malades du sida
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 29.12.2017Lecture : 2 min.
Saisies « fréquemment » sur l'augmentation des délais d'instruction des prestations accordées aux personnes handicapées et sur la situation de malades du sida bénéficiant de nouveaux traitements se voyant refuser l'attribution de ces avantages, la direction de la sécurité sociale (DSS) et la direction de l'action sociale (DAS) apportent des précisions sur ces questions dans une circulaire du 25 août 1997.La DSS et la DAS notent que, « si les nouvelles thérapeutiques apportent une amélioration de l'état général d'un certain nombre de personnes atteintes, cette amélioration n'est pas assurée à long terme. De plus, une partie notable des malades échappent à cette efficacité thérapeutique. » Reprenant les termes d'une circulaire du 23 novembre 1993 relative au guide-barème pour l'évaluation des déficiences et incapacités des personnes handicapées (1), la circulaire du 25 août 1997 rappelle que « l'appréciation des déficiences modérées et importantes ne peut être que médicale : elle doit tenir compte - même en l'absence de signe clinique - de la baisse de l'immunité qui entraîne une fatigabilité très importante limitant ou empêchant parfois de se déplacer ou de travailler, qui peut,…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques