Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
L'article des ASH consacré aux Sessad (1) dans lequel la journaliste estimait que l'Education nationale « ne joue pas toujours le jeu » de l'intégration scolaire des enfants handicapés « est d'autant plus mal venu qu'il y a, à l'heure actuelle, une volonté politique manifeste de la part de l'Education nationale de participer à la prise en charge des enfants en difficulté », s'indigne Henri Perret, directeur des instituts et du Sessad Caravelle (2). « Avant même que l'autorisation de fonctionner nous soit accordée par la DRASS, nous avions déjà la garantie qu'un poste supplémentaire d'instituteur spécialisé serait affecté à notre Sessad », témoigne-t-il.A la lecture de l'article, explique Henri Perret, « nous voyons tout de suite pourquoi le type de Sessad dont on parle ne peut pas avoir une bonne relation avec l'Education nationale. En effet, les questions que se pose le pédopsychiatre Claude Dray par rapport à la façon de'présenter" l'enfant à l'école laissent supposer qu'il'appartient" au Sessad et qu'il doit bénéficier de prestations éducatives commandées à l'école ». A Fontainebleau, poursuit le directeur, « nous sommes partis de la question posée dans le sens inverse :l'enfant,…
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