Accueil et prise en charge des victimes de sévices sexuels
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 2 min.
Dix ans après les premières actions de sensibilisation et d'information des personnels impliqués dans la prise en charge des victimes de violences sexuelles, une circulaire commune DGS/DH réactualise les orientations en la matière.En premier lieu, l'accent est mis sur les victimes de violences sexuelles ou de mauvais traitements. Celles-ci doivent pouvoir être reçues « dans tous les établissements de santé dotés soit d'un service d'accueil d'urgence, soit d'un service de gynécologie-obstétrique, soit d'un service de pédiatrie », est-il rappelé. En outre, si nécessaire, un psychiatre de l'établissement doit pouvoir intervenir. S'agissant plus particulièrement des enfants, il est précisé que leur prise en charge « nécessite une vigilance particulière et la mise en place d'un dispositif coordonné », notamment au niveau départemental. Après avoir rappelé les modalités de l'intervention médicale, l'administration rappelle que « tout doit être mis en œuvre » pour que les « impératifs de cette prise en charge ne constituent pas un traumatisme supplémentaire pour la victime ». Enfin, au-delà de l'accueil, le médecin doit veiller à ce qu'un suivi soit assuré, notamment en proposant à la victime…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques