Prévention de la marginalisation : mise en place de points « écoute »
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 1 min.
Complétant le dispositif des points d'accueil des jeunes de 10 à 25 ans mis en place en juin 1996 (1), une circulaire conjointe des ministres chargés de l'aménagement du territoire, de la ville et de l'intégration invite les préfets de départements (DDASS) à développer des structures d'accueil et d'écoute pour les jeunes de 18 à 25 ans rencontrant des difficultés sociales, familiales, ainsi que des lieux de soutien et de dialogue pour leurs parents : les points écoute jeunes et les points écoute parents.Déjà expérimentés dans plusieurs départements, où « ils se sont révélés être des outils de prévention », ces points écoute, au nombre de 63 actuellement, visent à redonner aux familles les moyens de dialoguer et de remplir leur rôle dans l'éducation à la santé et l'intégration sociale de la jeunesse. Conçus comme des « structures légères », ils permettent d'aborder principalement les problèmes de toxicomanie et leurs corollaires.Prévention de la toxicomanie et de la délinquance, accueil, orientation et réinsertion sociale, professionnelle des jeunes toxicomanes les plus démunis par un accompagnement socio-éducatif adapté, recherche d'un équilibre, mais aussi réponse à des situations…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques