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Plus de 600 amendements au projet de loi de cohésion sociale

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Ouvrant le débat sur le projet de loi de renforcement de la cohésion sociale, le 15 avril, à l'Assemblée nationale, le Premier ministre, Alain Juppé, a affirmé que ce texte « abandonne les vieilles logiques » en refusant la « solidarité passive, réduite à l'aide financière », au profit d'une « approche différente et exigeante, celle de la prévention et de l'insertion ». « Il n'y a pas de fatalité de l'exclusion », a martelé Alain Juppé, plaidant pour « une démarche transversale, continue et dynamique ». Répondant aux détracteurs du projet, notamment les socialistes qui reprochent au projet de « faire financer la misère par la pauvreté », le Premier ministre s'est défendu avec vigueur : le « projet de loi refuse d'ériger la pauvreté en statut, comme le réclament les zélateurs de l'assistance, qui ne voient de solutions que dans la multiplication des allocations ». Après les discours non dénués d'accès de lyrisme des ministres, la présidente d'ATD-Quart Monde, Geneviève Anthonioz-De Gaulle, a su, le temps de son intervention, faire cesser le clivage droite-gauche et retenir l'attention de la centaine de députés présents qui l'ont d'ailleurs applaudie à plusieurs reprises. S'exprimant…
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