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De la bienfaisance à la solidarité : quel progrès ?

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Rina Dupriet, secrétaire générale de l'Association nationale des cadres communaux d'action sociale, s'interroge sur le sens de la célébration du bicentenaire des CCAS (1).
«  Au moment où les communes n'hésitent pas à investir pour commémorer le bicentenaire des centres communaux d'action sociale  (CCAS), meurent ici ou là des personnes en grande difficulté, frappées par le froid glacial de cet hiver 1996-1997, que la société a exclues du travail et du droit au logement. L'image de saint Vincent de Paul qui ramassait les enfants abandonnés [...] est toujours d'actualité. Aujourd'hui, les services publics se mobilisent pour créer un SAMU social dans leur ville afin d'aller à la rencontre de ceux et de celles qui, comme hier [...], se nichent au coin des portes ou sous un pont pour se protéger du froid [...]. « Hier, on ouvrait des “ateliers de charité” pour recevoir les vieillards, les infirmes, les femmes et les enfants pour le travail des laines, des filatures de coton, pour la réparation des chemins vicinaux, pour le glanage du blé. Aujourd'hui, on ouvre des chantiers d'insertion, des chantiers…
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