Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 2 min.
A 46 ans, Monique Sassier (1) quitte son poste de chargée de mission auprès du délégué général aux affaires sanitaires et sociales de la ville de Paris qu'elle occupait depuis avril 1993, pour assurer la responsabilité des études et des actions politiques à l'Union nationale des associations familiales (UNAF) (2). Un tournant pour cette militante de l'action sociale.
ASH : Quel bilan tirez-vous de vos années passées à la ville de Paris ? M.S. : Le sentiment d'avoir pu procéder à des évolutions extrêmement importantes au niveau des politiques sociales. Notamment dans le domaine de l'aide, de l'action sociale en direction des Parisiens les plus en difficulté avec trois grands secteurs d'intervention. D'abord, la rénovation des centres d'hébergement de la ville de Paris, en particulier la mise en service du nouveau centre de la Poterne des peupliers. Ensuite, la mise en place du SAMU social. Enfin, un autre secteur, moins connu mais à mon sens tout aussi important et même peut-être plus essentiel, la mise en œuvre de la loi Besson. Car, au-delà de l'urgence qui…
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