Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 1 min.
La Conférence permanente des coordinations associatives (CPCA) (1) s'inquiète de « la régression budgétaire générale sans précédent » vis-à-vis du mouvement associatif dans le cadre du projet de loi de finances (2). C'est ainsi qu'elle déplore, notamment, la baisse de 15 % des crédits sur les interventions en faveur de la jeunesse et de la vie associative, de 1,6 % des fonds affectés à la formation du secteur sanitaire et social et de 32 % des crédits de formation pour l'aide à domicile. Par ailleurs, certaines des mesures adoptées par le gouvernement en janvier dernier (3), « ne sont pas mises en œuvre ou restent d'application difficile », regrette la CPCA. Laquelle évoque ainsi les conditions d'exonération des charges pour le premier salarié « modifiées unilatéralement », la pluriannualité des conventions qui « semble déjà contournée par certains ministères », l'abondement des crédits du Fonds national de développement de la vie associative qui « n'apparaît pas distinctement » dans le budget du ministère de la Jeunesse et des Sports, le manque de clarté sur le rôle des délégués départementaux à la vie associative. « Des remises en cause qui prennent malheureusement le pas…
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