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ASSISTANTES SOCIALES, LA FIN DES ILLUSIONS LIBÉRALES

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Pour des raisons notamment culturelles, le service social a du mal à s'inscrire dans le jeu territorial imposé par la décentralisation, constate le sociologue Philip Mondolfo. Lequel propose de réagencer les rapports du politique, de l'administratif et du technique, afin de « redonner sens à l'action sociale » .
« La décentralisation a provoqué un déplacement de pouvoir dans le champ social  aujourd'hui, c'est l'employeur qui donne la légitimité et non plus seulement la profession qui la construit à partir de sa seule technicité. Dès lors, les nouvelles règles du jeu se déclinent pour le service social en termes de contrôle et de partage, et non plus d'autonomie et de maîtrise de la définition du social. Dans un contexte qui brouille les valeurs professionnelles mais aussi les rapports que les assistantes sociales avaient su instituer avec leur employeur sur le registre fantasmatique des professions libérales, nous voudrions focaliser l'attention sur les conditions institutionnelles à même de redonner sens et légitimité à l'action sociale. Ceci passe, à notre avis, par la construction d'un nouvel agencement stratégique…
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