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Réactions au référendum anti-mendicité de Nice

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Dans une lettre adressée au maire de Nice, le président de l'Union nationale des centres communaux d'action sociale (UNCCASF)   (1) s'est déclaré «  profondément choqué » par le référendum anti-mendicité organisé le 24 novembre dans cette ville. Une consultation marquée par une forte abstention (près de 80 %), la reconduction de l'arrêté municipal anti-mendicité ayant été approuvée par 66,34 % des votants. « Il n'est pas sain de placer les citoyens devant la responsabilité d'un choix aussi restrictif. Comment pourraient-ils se prononcer sans nuance entre leur désir, bien légitime, de tranquillité, de sécurité, d'avoir une ville propre, et l'opportunité d'une mesure qui ne fait qu'exclure davantage les populations déjà mises au banc de la société ? », a-t-il notamment interrogé, estimant que « des moyens légaux mieux appropriés » existent pour répondre au problème posé par la mendicité. « L'égale dignité de tous les êtres humains peut-elle dépendre d'un référendum ? », interpelle, pour sa part, ATD quart monde (2), rappelant que « ce n'est pas en rejetant de ville en ville les personnes en très grande précarité que l'on fera reculer la misère ». Notes(1)  UNCCASF : 7, rue Gabriel-Péri -…
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