Publié le : Dernière Mise à jour : 20.09.2017Lecture : 2 min.
Comment assurer une prise en charge de qualité dans un contexte de plus en plus contraignant ?Telle est la question posée par Maurice Beccari, secrétaire général de la Fédération nationale des instituts de sourds et aveugles de France (FISAF), réunie en congrès les 22 et 23 novembre (1).
ASH : Quel est votre objectif à travers ce colloque ? M.B. : C'est d'initier un travail de longue haleine nous permettant au sein de la fédération d'avoir une démarche de qualité commune. Parce que, quand on gère 62 établissements éclatés sur le territoire national, qui inévitablement se sentent un peu isolés dans leur pratique quotidienne, il apparaît nécessaire de retrouver des modalités de fonctionnement qui puissent être partagées. Ce colloque est pour nous le point de départ d'un travail global autour d'outils communs d'évaluation de nos projets d'établissements et projets individuels. Ceci afin de disposer, entre autres, d'un certain nombre d'éléments plus fiables pour sortir du discours et rentrer dans une logique de qualité, même si le terme de qualité n'est pas le plus approprié à mon sens, car il vaudrait…
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