Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 1 min.
Une journée d'action sur « le non-respect » de la Convention internationale des droits de l'Enfant était organisée, toujours le 20 novembre, par les femmes de la coordination régionale Ile-de-France des collectifs de sans-papiers (1). Laquelle soulignait « qu'en plaçant toute une partie de sa population, et notamment les étrangers dans une situation de précarité, en refusant de régulariser les sans-papiers, la France viole de façon flagrante les droits élémentaires des enfants ». Une initiative soutenue par de nombreuses organisations dont la Fédération syndicale unitaire (FSU) et le Syndicat national des personnels de l'éducation surveillée/PJJ/FSU (2).De son côté, rappelant que les conseils généraux consacrent chaque année près de 30 % de leurs dépenses de fonctionnement à la protection de l'enfance, soit quelque 23 milliards de francs en augmentation régulière de 5 % l'an, l'APCG (3) indiquait que le sujet des abus sexuels devait être « inclus dans l'ensemble de la politique de lutte contre la maltraitance ». Et ne saurait faire « l'objet d'un traitement particulier ». Insistant sur le fait que « les services sociaux départementaux sont en première ligne » et apportent « une…
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