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Le taux de progression des dépenses d'assurance maladie n'est pas encore adopté

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Alain Lamassoure, qui avait indiqué à l'issue du conseil des ministres du 9 octobre que les dépenses augmenteraient de 1,3 % pour la médecine de ville, 1,25 % pour les hôpitaux et 3 % pour les établissements médico-sociaux (1), est revenu sur ses déclarations peu de temps après, soulignant que le taux de progression des dépenses de médecine libérale en 1997 « n'avait pas été adopté pour le moment et fera l'objet d'une négociation  ». Laquelle, a-t-il précisé, se mènera entre « l'Etat et les caisses d'assurance maladie, puis entre les caisses et les professions concernées, conformément à la procédure définie par les ordonnances du 24 avril 1996 ». De même, le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 1997 ne prévoit aucun objectif de dépenses hospitalières », a-t-il ajouté. Il n'en reste pas moins que les syndicats avaient réagi dès l'annonce du ministre délégué au budget.Pour la CFDT-Santé sociaux (2), une évolution de l'enveloppe budgétaire « de 1,25 % seulement » pour l'hospitalisation « ne peut maintenir les moyens au niveau actuel ». La fédération indique que « ce taux d'évolution trop faible ne permettrait pas d'assurer l'évolution naturelle de la masse salariale…
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