La loi de cohésion sociale sera un simple « réaménagement »
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 04.08.2017Lecture : 1 min.
La première journée du 66e congrès de l'Assemblée des présidents de conseils généraux, le 18 septembre à Montpellier, a tourné autour du social, avec des débats consacrés au RMI, à la prestation autonomie et à la loi de cohésion sociale.Ainsi, à propos de cette dernière, le Ministre du Travail et des Affaires sociales, Jacques Barrot a précisé : « Notre souci est de transférer environ 25 000 Rmistes vers des emplois d'utilité sociale grâce à des contrats d'initiative locale, afin d'offrir plus de latitude aux départements dans l'utilisation des 20 % qu'ils consacrent à leur insertion. » Il a également annoncé la création d'une « conférence des programmes » au niveau départemental, composée du préfet, du président du conseil général et de la caisse d'allocations familiales. En matière de santé publique, il a jugé utile « le transfert à l'Etat, de la compétence relative à la tuberculose, très marquée du sceau de la précarité. Ce qui constituera le premier élément d'un pôle sanitaire de l'Etat ». Il a en outre confirmé que la loi de cohésion sociale ne serait « pas un bouleversement, mais un réaménagement, devant servir à simplifier les choix ». « Nous voulons, a-t-il poursuivi, unifier…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques