Recevoir la newsletter

Service social en Algérie : témoignage

Article réservé aux abonnés

Mlle Pastoureaud, du Syndicat national des travailleurs sociaux CFE/CGC (1), réagit aux propos d'Andrée Dore-Audibert sur les assistantes sociales en Algérie, en particulier dans la nuit du 26 au 27 mai 1956 (2). « Comme mes collègues, j'avais été convoquée verbalement pour une action non précisée... Je me suis retrouvée avec l'une au commissariat central d'Alger. Dès que nous avons compris la nature de l'opération, nous avons refusé catégoriquement d'y participer. J'ignorais totalement ce qu'il était advenu de mes autres collègues, objets vraisemblablement des mêmes pressions que nous avons dû subir sur l'avenir de nos carrières. En effet, ma collègue et moi avons eu une interminable discussion avec le médecin-chef et un haut fonctionnaire du gouvernement fédéral qui, découragés par notre obstination, nous ont fait conduire au local carcéral des délinquants mineurs sans la moindre considération. Délivrées sans explication après plusieurs heures, nous sommes retournées à notre domicile [...]. En effet, contrairement aux idées exprimées par Andrée Dore-Audibert, les assistantes sociales nées en Algérie de parents européens étaient comme toute cette population passionnée par la France,…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur