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La difficile rencontre de la psychiatrie et de la misère

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Comment ouvrir le secteur psychiatrique à la souffrance des personnes en situation de grande précarité ? Le rapport dirigé par Catherine Patris plaide pour une logique de réseau.
Pas question de créer de nouvelles structures psychiatriques pour les exclus. Mais d'ouvrir davantage le secteur sur la cité pour aller au-devant des personnes à la rue. Tel est le principal enseignement du groupe de travail « Psychiatrie et grande exclusion », dirigé par le docteur Catherine Patris, qui, dans son rapport rendu à Xavier Emmanuelli et Hervé Gaymard, plaide pour le développement d'une logique de réseau. « La politique de secteur, qui a déjà accompli de réels progrès dans le développement des soins de proximité, doit franchir une étape supplémentaire en direction des marginaux et des errants », estime ainsi le docteur Eric Piel, membre également du groupe de réflexion. Une diversité de situations Sans vouloir psychiatriser la misère, il existe une réelle souffrance psychique, voire psychiatrique, chez les personnes en situation de précarité et une demande des travailleurs sociaux d'être aidés face à cette souffrance, constatent d'emblée les membres…
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