Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 7 min.
Le Conseil supérieur du travail social achève son troisième mandat avec cinq rapports à son actif. Un bilan plutôt fécond, en dépit de certaines insuffisances.
C'est le 27 juin, en présence de Jacques Barrot, que le Conseil supérieur du travail social (CSTS) (voir encadré) se réunira pour la dernière fois dans sa composition actuelle, avant le renouvellement de ses membres pour trois ans. Redémarrage prévu à l'automne après la publication, au cours de l'été, de l'arrêté de nomination des nouveaux membres, parmi lesquels on devrait trouver davantage de représentants des employeurs et, pour la première fois, ceux des étudiants (1). Ce qui ne va d'ailleurs pas sans poser certains problèmes : quelle représentation légitime des étudiants travailleurs sociaux ? Et comment élargir la composition du CSTS dans la mesure où le ministre ne souhaite pas augmenter le nombre de ses membres ?Au cours de ce troisième mandat, qui a débuté en juin 1993, le CSTS aura connu quatre ministres des Affaires sociales et mené à bien, notamment, cinq rapports. Deux d'entre eux ont été bouclés en octobre 1995 : « Travail social et éducatif en internat » et « Adaptation…
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