Recevoir la newsletter

POP et enquêtes sociales rapides : la désillusion

Article réservé aux abonnés

« La désillusion qui caractérise la mise en œuvre des permanences d'orientation pénale (POP) se fonde davantage sur des éléments qui tiennent à la médiocre qualité du climat institutionnel et à l'absence d'une politique pénale locale que personne ne maîtrise réellement. Il s'ensuit une crise de sens des POP qui, détachées de leur projet alternatif à l'incarcération, n'ont pas trouvé de nouvelle justification pratique. » Telle est la conclusion, sans appel, du rapport d'évaluation nationale sur les permanences d'orientation pénale et les enquêtes sociales rapides (1), réalisé à la demande du ministère de la Justice et publié par le Comité de liaison des associations de contrôle judiciaire (CLCJ)   (2). En effet, constatent les rapporteurs, le champ d'application des POP ne semble satisfaire personne, les conditions de travail des enquêteurs (le plus souvent des travailleurs sociaux) sont généralement déplorables et les délais impartis pour la réalisation des enquêtes rapides trop courts. En outre, en dépit de certaines initiatives et propositions qui pourraient permettre d'améliorer le système, « aucun des corps engagés dans l'action ne souhaite vraiment se mettre en danger dans une…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur