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Faut-il former des intervenants du 3e type ?

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Le travail social de demain verra-t-il l'émergence d'une nouvelle spécialisation mariant la culture de l'entreprise et de l'accompagnement social ?
« Quel que soit le travail réalisé en amont pour préparer l'insertion, on a besoin, à un moment donné, d'avoir une personne plus spécialement détachée pour faire la jonction entre le milieu spécialisé et les entreprises, deux mondes étrangers qui se regardent encore du coin de l'œil », indiquait, lors d'une journée d'étude, François Glaziou, directeur des établissements de l'association Vivre, spécialisée dans l'insertion des personnes handicapées (1). C'est ainsi que ses responsables, estimant les relais actuels insuffisants, ont fait le choix de recruter cinq personnes capables d'assurer « ce travail complexe » d'interface entre les mondes du handicap et de l'économique. Et dont les profils sont assez hétérogènes : cadre commercial, animateur, psychologue, éducateur... « Toute notre difficulté étant de parvenir à recruter des candidats ayant une double compétence du social et de l'économique », souligne François Glaziou.Un constat qui soulève un problème clé : face au hiatus persistant…
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