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L'intersyndicale du ministère des Affaires sociales ne désarme pas

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Après la grève du 26 mars (1), l'intersyndicale du ministère des Affaires sociales (CGT, CFDT, FO, CFTC, FNSA, SNIASS) a refusé de siéger, en l'absence de Jacques Barrot, au comité technique paritaire du 4 avril consacré à la réforme de l'Etat. Les organisations syndicales estimant en effet que, compte tenu de « la création des agences hospitalières et [de] la casse des DDASS et des DRASS », il revenait au ministre des Affaires sociales de présider une réunion sur un tel sujet. De fait, le projet d'ordonnance sur la réforme de l'hospitalisation publique et privée qui crée des agences régionales d'hospitalisation, comme le rapport Silicani sur la réforme de l'Etat qui préconise un resserrement des services déconcentrés, inquiètent tant les syndicats que les associations professionnelles, ou encore différents corps tel celui des médecins inspecteurs. Les personnels des affaires sanitaires et sociales s'alarment pour leurs statuts, mais s'inquiétent également du risque de désengagement de l'Etat, dans les années à venir, dans la détermination de la politique sanitaire et sociale.Pour tenter de calmer la grogne (les syndicats appelant à une seconde journée de grève le 18 avril), le ministre…
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