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Du petit enfant à l'adulte : quelle intégration ?

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Si les structures de prise en charge des infirmes moteurs cérébraux se sont développées pour les enfants, elles sont encore insuffisantes pour les adultes. Tout reste à faire pour les IMC vieillissants, d'autant que leur espérance de vie augmente.
Faut-il, comme l'Association des paralysés de France  (APF), considérer que l'infirme moteur cérébral est un handicapé comme un autre, même s'il est plus compliqué à appréhender en raison des déficiences multiples dont il est atteint ? Ou doit-on, à l'instar de la Fédération française des associations d'infirmes moteurs cérébraux (FFAIMC), souligner la spécificité de ce handicap et la prise en charge adaptée qu'il suppose ? (1) Au-delà des divergences de vues sur le type d'accompagnement à mettre en œuvre et les querelles de définitions, une certitude : en dépit des progrès médicaux, l'infirmité motrice cérébrale  (IMC) n'a pas disparu. Et on estime à 40 000 le nombre de personnes concernées  (voir encadré au verso). Les causes de l'IMC ont toutefois évolué au cours de ces dernières années. « Souvent le fait d'incompatibilités de rhésus ou d'accouchements difficiles il y a 20 ans, les infirmités…
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