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Et l'insertion des jeunes dont les capacités d'apprentissage sont très réduites ?

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« Pour les jeunes issus des classes de SES, d'IME ou d'IMPRO, l'accès à l'emploi en milieu ordinaire risque bientôt et dans l'état actuel des choses de devenir une utopie », avertit Michel Turmel, formateur. Lequel prône le développement des emplois d'utilité sociale.
En effet, explique celui-ci, «  hors CAT ou ateliers protégés qui sont actuellement totalement engorgés et dont les délais d'attente peuvent atteindre jusqu'à 4 ou 5 ans, et hors des entreprises d'insertion », il n'existe pratiquement aucun débouché pour ces jeunes.Pourquoi, s'interroge-t-il, « plutôt que de leur proposer des stages dont les finalités s'avèrent trop souvent battues en brèche du fait de la réalité économique, ne pas essayer d'envisager des formes d'activités qui garantissent une véritable utilité sociale, au contact de la population par le service apporté, et qui ne sont pas remplies actuellement ou insuffisamment ? » Il faut, poursuit le formateur, « installer une réflexion de fond afin de pallier cette perversion d'un système où l'on assiste à un phénomène de “stagiairisation”, c'est-à-dire une autoperpétuation du statut du stagiaire de la formation…
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