Le conseil général du Rhône restreint le champ de la tarification départementale
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Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
Président CDS du conseil général du Rhône et, par ailleurs, vice-président de l'APCG, Michel Mercier vient de jeter un pavé dans la mare en décidant, pour 1996, dans son département, « d'exclure du champ de la tarification départementale, l'ensemble des charges qui doivent relever d'autres financeurs ». C'est du moins ce qu'il annonce dans un courrier adressé le 10 octobre aux associations concourant à la mise en œuvre de l'ASE. Ainsi, selon lui, sont notamment considérés comme étrangers à la compétence départementale : les dépenses médicales et postes de médecins y compris les psychiatres, les dépenses de formation qui relèvent, selon les cas, de l'Etat ou de la région, et les postes d'instituteurs et de formateurs.Saisie par ses adhérents, la Fédération des syndicats nationaux d'employeurs des établissements et services pour personnes inadaptées et handicapées (SNASEA, SOP, SNAPEI) (1) a immédiatement répliqué en indiquant, par courrier à Michel Mercier, que cette limitation du champ de la tarification « ne respecte ni l'esprit ni la lettre des textes adoptés par le législateur ».Ainsi, poursuit-elle, le souci de rationnalisation des coûts « ne peut être opposé aux associations…
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