Les vice-présidents du CNV critiquent le rapport PNIU
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 1 min.
« Le PNIU n'aura de crédibilité que dans la mesure où il sera accompagné d'un engagement financier pluriannuel à la hauteur des ambitions proclamées. » Même s'il ne s'agit encore que d'une prise de position à titre personnel, les propos tenus le 19 octobre par François Geindre (maire PS d'Hérouville Saint-Clair), vice-président du Conseil national des villes (CNV) avec Jean-Pierre Delalande (RPR), laissent mal augurer de l'accueil que le CNV pourrait réserver au projet de programme national d'intégration urbaine (PNIU). Une réaction qui intervient après la présentation à ces deux responsables du rapport Idrac-Duport servant de base à l'élaboration de ce programme (1). En effet, s'il reconnaît la volonté du gouvernement de faire face au défi lancé par le problème de l'intégration urbaine, François Geindre déplore l'absence d'originalité des solutions proposées. Selon lui, si les quatre axes retenus dans le rapport de présentation du PNIU « semblent aptes à aider à un nouvel élan de la politique de la ville », « ils ne sont pas en rupture avec les politiques précédemment menées et n'épuisent pas le champ du possible ». En outre, poursuit-il, face aux multiples difficultés des quartiers…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques