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L'aide à la scolarité a créé de « nouvelles disparités »

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Suite aux remous suscités par la mise en place, le 1er août 1994, de l'aide à la scolarité (1), une mission a été confiée en février dernier à deux parlementaires, Claude Huriet, sénateur centriste de Meurthe-et-Moselle et Charles de Courson, député UDF de la Marne (2). Leur rapport remis cet été aux ministres de l'Education nationale et de la Solidarité entre les générations porte un jugement nuancé.Globalement, les auteurs considèrent que le remplacement des bourses de collège par l'aide à la scolarité était une « réforme nécessaire » qui doit être maintenue. A priori, le nouveau système semble en effet plus favorable. 1 188 000 élèves ont bénéficié de l'aide à la scolarité (contre 1 060 000 pour les bourses de collège). Si le montant de la bourse est resté quasiment identique (650 F en moyenne), l'enveloppe budgétaire allouée a progressé de près de 40 % passant de 697 millions de francs en 1993-1994 à 972 millions en 1994-1995 (dont 200 millions au titre du fonds social collégien).L'application de nouveaux critères d'attribution de l'aide (âge des enfants, taille de la famille) a eu toutefois pour conséquence de créer de « nouvelles disparités ». Si les parlementaires évaluent…
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