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Après l'assassinat d'une éducatrice, émotion et interrogations

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Après l'assassinat à Tourcoing d'Isabelle Villez, éducatrice spécialisée, par un usager souffrant de troubles mentaux (1), ses collègues et employeurs de l'association tutélaire Ariane   (2) ont adressé un courrier à différents organismes et responsables sociaux de la région Nord-Pas-de-Calais. « Nous nous retrouvons en première ligne et très souvent seuls, pour tenter d'apporter des réponses au problème de la misère et de l'exclusion », expliquent-ils, cherchant à comprendre le contexte dans lequel s'est produit cet événement tragique. Du fait de l'aggravation de la crise économique et sociale, « notre mission devient aléatoire et il y a un leurre à laisser croire le contraire. Cette tromperie ne peut qu'en rajouter au désespoir des personnes en attente ». Concernant l'accompagnement tutélaire, « le développement exponentiel du nombre de mesures de mise sous protection judiciaire n'est pas sans poser problème », poursuivent-ils, estimant que les textes qui régissent cette activité et les moyens qui lui sont accordés sont, actuellement, sans commune mesure avec la difficulté de la tâche : trouver un logement, un travail, une formation, gérer le patrimoine du majeur protégé, combattre…
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