Fédérations et associations intervenant dans la protection juridique des majeurs, professionnels et familles ont fait des propositions, lors d’un colloque, pour améliorer le dispositif né avec la loi du 5 mars 2007. Une loi relativement récente mais jugée déjà obsolète par les principaux intéressés.
L’amphithéâtre de l’espace Reuilly, à Paris, est plein pour les assises nationales de la protection juridique des majeurs. Et Ange Finistrosa, le président de la Fédération nationale des associations tutélaires (FNAT), s'en réjouit en rappelant le fil rouge des débats cet après-midi du 7 novembre : la loi du 5 mars 2007 portant réforme de la protection juridique des majeurs (ici puis là). Alors que, le lendemain, à cette même tribune, la garde des Sceaux Nicole Belloubet affirmera qu’il existe un "consensus général sur la qualité de la réforme", tout en promettant quelques améliorations, les acteurs de terrain, eux, se montrent nettement critiques…
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