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La difficile inclusion à l’épreuve du droit

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« Accueillir dignement la victime, mais reconnaître aussi le grand âge ou la maladie comme cause de l’acte délictueux va s’imposer », espère Muriel Cormorant, avocate.

Crédit photo DR
[ALZHEIMER FRIENDLY 14/16] Les problématiques qui touchent les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer deviennent chaque jour plus prégnantes dans notre société. Si des mouvements de société civile ou associatif, comme le mouvement « Alzheimer friendly » ou les « Dementia Friendly communities » prennent au sérieux ces enjeux et proposent des solutions, le droit et le système judiciaire sont un peu à la traîne.

La protection des malades contre les personnes malveillantes

L’abus de faiblesse est l’un des dangers lorsque la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer est à domicile. Les techniques commerciales deviennent chaque jour plus agressives et le risque peut également venir des proches, des aidants familiaux ou des professionnels. Le législateur définit donc l’abus de faiblesse de manière large, et considère qu’il est constitué chaque fois qu’une personne profite de la faiblesse physique ou psychique d’une autre, ou de son ignorance, pour lui faire souscrire un engagement généralement inadapté à ses besoins. (C. consom L

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