Benoît Henkens est coordinateur pédagogique au sein du Dispositif inclusif Val de Loire de l’Association des amis et parents des personnes en situation de handicap intellectuel (Adapei) de la Sarthe. Il rend compte de la situation dans son département, où plus de la moitié des enfants accueillis n’ont aucune ou moins de six heures de scolarisation par semaine.
ASH : Comment se présente la rentrée scolaire ?
Benoît Henkens : De manière sensiblement identique à celle de l’année dernière. Le manque de moyens est évident. On observe un déficit d’enseignants pour la prise en charge des jeunes en situation de handicap.
Notre dispositif inclusif en accompagne 110. Et nous sommes six enseignants détachés de l’Education nationale pour nous en occuper. Ce qui demeure tr
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?