Parmi les axes de travail de ces deux journées de rencontres : mieux comprendre en quoi la sécurité affective est essentielle pour le développement de l’enfant et ce qu’elle recouvre ; mieux connaître le fonctionnement du système d’attachement, le rôle de la figure d’attachement, les liens qui protègent, soutiennent, et ceux qui fragilisent, voire détruisent ; mieux identifier, dans les contextes de vulnérabilité ou d’adversité pour l’enfant, les personnes qui comptent pour lui dans son milieu familial et/ou en dehors, et qui répondent ou pourraient répondre, en étant mieux soutenues, à son besoin de sécurité pour l’aider à bien grandir.
Mais aussi, de quoi s’inspirer des démarches et outils ayant fait leurs preuves, permettant de consolider, de favoriser ou de restaurer les liens sécures avec ces personnes significatives, en prenant en compte autant que possible les ressources de l’entourage. Et ainsi mieux penser et mieux soutenir, en contexte de prévention ou de protection de l’enfance, selon les situations et les besoins, l’accompagnement de la famille, le projet de vie de l’enfant, son parcours jusqu’à l’âge adulte.