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Les services sociaux du conseil général en pleine réorganisation houleuse

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Evolution de la société, nouveaux transferts de compétences, diversification des publics et des missions des agents... autant d'arguments avancés par le conseil général des Bouches-du-Rhône pour justifier le projet de réorganisation territoriale des services chargés de l'action sociale et médico-sociale du département, en cours depuis le début de l'année, et qui vient d'être entériné, jeudi 8 octobre, en comité technique paritaire (CTP), sur fond de grève d'une partie des personnels concernés.La réforme de la direction générale adjointe de la solidarité - qui compte quelque 2 300 agents dont 1 500 sur le terrain - n'est certes pas du goût de tout le monde, deux des syndicats siégeant au CTP, la CGT et la FSU, s'étant élevés contre le plan présenté par l'exécutif départemental, qui a en revanche rallié les voix de FO et de la CFTC.
"Précurseur de la casse du service public"
Pour la CGT et la FSU, auxquelles s'ajoute le Syndicat national des médecins de la protection maternelle et infantile (SNMPMI), ce projet apparaît en effet comme "précurseur de la casse du service public", dans la mesure où il pose comme préalable à la réorganisation des services "des économies de moyens, des postes…
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