SECTION 4 - IL EST DIFFICILE D’ÉVALUER SCIENTIFIQUEMENT UNE ACTION DE MÉDIATION ANIMALE
Introduction
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Publié le : Dernière Mise à jour : 15.09.2020Par : VIRGINIE CHAMPION et JACQUES DRAUSSINLecture : 6 min.
Infirmière diplômée en 2004, Céline Courbet se passionne depuis toujours pour les chiens et a eu très tôt l’intuition que l’interaction avec l’animal pouvait être bénéfique à l’humain. C’est d’ailleurs sur ce thème que portait son mémoire de fin d’études, à un moment où la médiation animale connaissait un bel essor en France.Depuis plus de dix ans, Céline Courbet travaille en psychiatrie au Centre Hospitalier Esquirol de Limoges. C’est là que, après avoir suivi une formation spécialisée auprès de l’organisme Présence Animale puis obtenu le Diplôme universitaire Relation d’aide par la médiation animale à Clermont-Ferrand, elle a pu mettre en place et développer des actions de médiation canine.Tout a commencé en 2014, avec deux psychiatres, responsables d’une unité de troubles anxio-dépressifs. « Les docteurs Verger et Audebert avaient envie d’intégrer un chien dans leur unité. Dès que j’ai entendu parler de cette expérience, j’ai proposé de participer à l’aventure et j’ai été nommée référente soignante du projet. Nous avions une toute jeune chienne, nommée Izy, qui appartient au Dr Audebert. Avec les patients, nous faisions des promenades dans le grand parc arboré qui entoure l’hôpital,…
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