Publié le : Dernière Mise à jour : 24.07.2019Par : BRIGITTE LESCUYERLecture : 1 min.
« Réfléchir c’est difficile, c’est pourquoi la plupart des gens jugent », Carl G. Jung (1).Face à une situation de violence, les personnes se sentent démunies, qu’elles soient directement impliquées ou seulement témoins. Elles ressentent souvent un sentiment indicible qui peut perturber et déstabiliser sur une période plus ou moins longue. Il est difficile d’envisager que dans sa sphère privée ou sur son lieu de travail une personne puisse subir des outrages à des degrés divers, que quelqu’un de sa connaissance puisse être à l’origine d’humiliations, de brutalités, de comportements de non-respect.Malgré craintes et peurs, tout citoyen est tenu de prendre position face à une situation de violence ou de maltraitance. Et a fortiori le professionnel du soin et de l’accompagnement qui ne peut ignorer les politiques sociales et le cadre juridique de ses fonctions.Il s’agit de réagir avec méthode dans le respect de la personne considérée comme victime, dans le respect de la personne incriminée, et dans le respect des lois et des règles du vivre ensemble.La manière de s’impliquer a tout autant d’importance que la démarche : il faut faire vivre une « écologie relationnelle » (communication…
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