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De nouvelles pistes et orientations à promouvoir

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A. Entretien avec Alice CasagrandeVice-présidente de la Commission pour la promotion de la bientraitance et la lutte contre la maltraitance, membre du comité de pilotage du ministère de la Santé sur la promotion de la bientraitance dans les établissements de santé, présidente du groupe travail « Signalements et alertes » au sein du Comité national pour la bientraitance et les droits des personnes âgées et des personnes handicapées – Mission à la FEHAP – enseignante.Auteure en 2012 de Ce que la maltraitance nous enseigne : difficile bientraitance, Dunod (3 octobre 2018)B. L. : Que manque-t-il, selon vous, pour mieux faire émerger les situations de maltraitance à domicile et en institution ?A. C. : C’est tout d’abord une connaissance très claire des obligations d’alerte et de la manière dont elles fonctionnent. Cela manque cruellement, comme j’ai pu l’observer lors d’une conférence que j’ai donnée récemment lors de journées de formation destinées à des médecins généralistes. Privilégiant les études de cas, je leur présente un problème de maltraitance concernant un mineur dans une crèche, problème suffisamment grave pour mériter un signalement au pénal.Dans l’alerte en question, les professionnels…
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CHAPITRE 4 - DE NOUVELLES PISTES ET ORIENTATIONS À PROMOUVOIR

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