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INTRODUCTION

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L’éthique diffère de la morale : l’ANESM (1) fait de la morale avec ses recommandations de bonnes pratiques qui désigne ce qui est bien et ce qui est mal, ce qu’il faut faire et ce qu’il faut interdire. Ainsi par exemple, obnubilés par la « qualité » telle qu’elle est normalisée dans des chartes et autres manuels, les acteurs décisionnaires du champ de l’action sociale et médico-sociale finissent par substituer des normes gestionnaires aux principes qui donnaient leur sens aux professions du social. « Au nom de la qualité, précise le sociologue Michel Chauvière (2), on réorganise [aussi], à grand renfort de prescriptions normatives, les conditions même de la professionnalité. Tous les acteurs sont sommés d’intégrer le nouvel ordre des pratiques et de renoncer aux régulations obsolètes : relationnelles, cliniques ou simplement compréhensives. Ces nouveaux outils composent un triptyque : ex ante : les référentiels et les schémas ; in itineris : les bonnes pratiques ; ex post, l’évaluation »L’éthique c’est autre chose. On ne fait pas d’éthique, on adopte une attitude éthique qui permet de vivre ensemble. L’éthique est un réseau de principes dont la complexité même constitue la nature…
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SECTION 4 - LE JUSTE ÉQUILIBRE BÉNÉFIQUE DANS LA MISE EN ŒUVRE D’UNE CONTENTION JUDICIEUSE

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