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« En France, près de 30 % des 100 000 personnes vivant durablement à la rue souffrent de troubles psychiatriques graves tels que la schizophrénie, qui s’ajoutent à un très mauvais état de santé global. elles vont mourir 30 à 35 ans plus tôt que la population générale du fait d’un manque de soins et de conditions de vie dramatiques et violentes », constate la Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (Dihal)(1).C’est pourquoi, s’inspirant du « Housing First » mis en œuvre aux Etats-Unis depuis le début des années 1990 et au Canada, un programme « Un chez-soi d’abord » vise à « expérimenter une prise en charge nouvelle pour les personnes sans abri atteintes de problèmes mentaux sévères, en leur proposant un accès direct à un logement ordinaire et durable, moyennant un accompagnement intensif, à la fois social et sanitaire », explique la Dihal. L’expérience outre-Atlantique a en effet permis d’obtenir des résultats positifs : « 80 % des personnes restent dans leur logement après quatre ans, leur qualité de vie et leur santé s’améliorent et des économies sont réalisées par la collectivité, en particulier grâce à une baisse des séjours à l’hôpital, des recours…
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SECTION 3 - L’EXPÉRIMENTATION « UN CHEZ-SOI D’ABORD »

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