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Le RSA, comme le revenu minimum d’insertion auquel il s’est substitué, n’a pas été ouvert aux jeunes de moins de 25 ans sans enfants. Cette exclusion des jeunes majeurs du dispositif relève d’un choix délibéré des pouvoirs publics. Et ce, malgré les nombreuses réserves émises lors des débats parlementaires. Pour Bernadette Dupont, sénatrice (UMP) des Yvelines, il est en effet « difficile d’expliquer que les jeunes actifs âgés de moins de 25 ans, disposant d’un logement autonome et déclarant leurs revenus séparément, ne puissent être éligibles au RSA “chapeau”, c’est-à-dire au RSA versé en complément des revenus d’activité » (1). Et, de fait, si, au regard de la nature de la prestation, la condition d’âge pouvait paraître adaptée au but visé – lequel consistait à éviter de faire du RMI une « trappe à inactivité » susceptible de dissuader les jeunes de moins de 25 ans de se former ou de travailler – la finalité du RSA paraît sensiblement différente, davantage tournée vers le travail que vers l’assistance.Depuis le 1er septembre 2010 (1er janvier 2011 dans les DOM), un RSA « spécifique » est réservé aux jeunes qui ont déjà une expérience dans le monde professionnel. La volonté politique…
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