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Disparition d’un passeur

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En 1944, à 17 ans, Jacques Ladsous prenait le maquis. En 2004, il achevait son troisième mandat de vice-président du Conseil supérieur du travail social (CSTS). Entre ces deux dates, et longtemps après, cette figure de l’action sociale a été de toutes les évolutions du secteur, jusqu’à sa disparition le 16 avril, à l’âge de 90 ans. Retour sur l’itinéraire de ce pionnier avec un portrait que les ASH lui avaient consacré en 2004(1).
Le travail social est un métier usant. Pas pour Jacques Ladsous. A 77 ans, l’œil malicieux, l’esprit vif, il n’a rien perdu de son énergie et de sa fougue pour défendre ses valeurs. Bien au contraire. Comme si, à l’inverse, le coup de barre libéral n’avait fait que décupler sa capacité d’indignation et régénérer ses forces de militant et de professionnel. Depuis plus de deux ans, malgré la fatigue de l’âge qui l’amène souvent essoufflé à ses rendez-vous, il porte, avec un enthousiasme quasi juvénile, la parole des « états généraux du social », entraînant dans son sillage tout un noyau de professionnels et sillonnant inlassablement les terres de la capitale et de la province.…
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