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L’invisibilité sociale : un effet pervers des dispositifs ?

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Dans le cadre des travaux menés par l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale, des travailleurs sociaux ont été interrogés sur leur perception des personnes « invisibles ». Un phénomène qu’ils attribuent essentiellement au fonctionnement des institutions.
Comment les travailleurs sociaux perçoivent-ils les populations « invisibles socialement » ? C’est ce qu’a cherché à savoir le bureau d’étude FORS-Recherche sociale, qui rend public un rapport réalisé dans le cadre des travaux lancés en 2014 par l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale (ONPES) sur l’invisibilité sociale(1). Trois groupes d’une dizaine de professionnels – éducateurs spécialisés, assistants de service social, conseillers en économie sociale et familiale (CESF), médecin, directeurs… –, exerçant dans différents types de structures ou institutions – conseil départemental, centres communaux d’action sociale, associations gestionnaires de centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS), de centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) ou de services de prévention spécialisée… – ont été constitués dans…
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