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« Il faut inscrire la prévention situationnelle dans une démarche plus globale de prévention »

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Dans les quartiers populaires, la prévention situationnelle - résidentialisation des immeubles, sécurisation des accès, promotion de la surveillance informelle - est souvent privilégiée pour réduire l’insécurité. Une approche séduisante, mais aux effets finalement limités. C’est ce que montre la chercheuse Véronique Levan dans une enquête menée à Paris et à New York.
Qu’est-ce que la prévention situationnelle ?Il s’agit d’une approche de la prévention de la délinquance conçue au début des années 1980 par des criminologues britanniques. Elle s’est ensuite développée au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Il s’agit de réduire les opportunités délinquantes par différents moyens, en particulier par l’adaptation de l’environnement urbain. On intervient sur les aménagements urbains et les bâtiments tout en essayant de promouvoir une surveillance informelle par les résidents eux-mêmes. Cette approche s’est enrichie, notamment avec la théorie des espaces défendables imaginée dans les années 1970 par l’architecte américain Oscar Newman. Son idée est qu’un locataire convaincu d’avoir une certaine forme de propriété sur son lieu de résidence en assurera…
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