Recevoir la newsletter

Pour vivre sans se cacher

Article réservé aux abonnés

Lorsque Lily et Jean-Pierre Franey ont filmé Aïcha la Marocaine, Elvis le Serbe, Mamadou le Sénégalais et Rébecca l’Ivoirienne, ceux-ci attendaient impatiemment la circulaire ministérielle sur les régularisations. Ils mettaient tous leurs espoirs dans le changement de gouvernement. Car ils sont sans papiers. Certains, comme Elvis, 20 ans, vivent en France depuis de nombreuses années, les autres sont arrivés plus récemment, pour étudier, se soigner, travailler. Le spectre de l’OQTF (obligation de quitter le territoire français) pèse sur leur quotidien. Je suis sans papiers nous permet de les suivre pendant plusieurs mois. Bien que leurs situations soient différentes, ils ont tous une seule idée en tête : obtenir des papiers qui leur permettraient de vivre sans se cacher. Comme le dit Rébecca, mère de quatre jeunes enfants : « J’ai peur quand je marche dans la rue, peur qu’on m’arrête. J’en ai assez de ne pas me sentir comme les autres. » On voit les quatre protagonistes faire la queue à la préfecture, être soutenus par des associations, manifester, parfois aussi être expulsés de leur logement. Le documentaire diffusé sur La Chaîne parlementaire (LCP) montre également des moments heureux,…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Culture

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur