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« Que reste-t-il du vivre ensemble ? »

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La perte de la faculté de penser en termes de « collectif » affecte l’éducation populaire tout autant que le travail social, déplore Laurent Ott, éducateur, formateur chargé de recherches à l’Ecole de formation psycho-pédagogique (Paris) et président de l’association Intermèdes Robinson à Longjumeau (Essonne) (1). Il réagit à un récent article des « ASH » (2) sur les liens entre les deux secteurs.
« Derrière le sujet, qui questionnait l’évolution de l’éducation populaire, aux contours flous mais porteuse d’un formidable élan social, se pose bien évidemment le problème du secteur social, en quête de sens et de projet. On pourrait dire que ce n’est pas par l’éducation populaire en tant que telle que le “social” serait attiré, mais par son “fantôme”.Pourtant les difficultés qui affectent les deux secteurs sont de même nature : économies, management, dérèglementation et hyperspécialisation des intervenants, parcellisation et morcellement de l’offre, marchandisation de segments entiers de l’intervention, etc. Leur rapprochement proviendrait-il ainsi de maux communs ? Cela semble…
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